Le Supermarché

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il y a 8 ans

Etre un ABDL est lourd de sens. Loin de l’ère numérique et des facilités pour acheter des couches, dans les années 90, il faut acheter ses couches en pharmacie ou en supermarché. De plus, les regards sont plus inquisiteurs et nettement moins complaisant que dans les années que vous connaissez actuellement.

Je viens de m’installer dans mon premier logement et enfin je peux être libre de porter des couches ou et quand je veux. Mais pour ce faire, il faut un élément primordial : les couches.

Dès que j’ai eu mon propre logement, j’ai vite pris la direction du supermarché ou j’ai acheté des couches pour adultes Dans le rayon, Je scrute mon futur achat avec envie. Personne a droite, personne a gauche, je saisie le paquet et horreur, 2 jeunes femmes de sensiblement mon âge me regarde, le paquet a la main et se mettent à sourire. Dans un reflexe qui aggrave mon cas, je repose le paquet comme pour dire, « non, ce n’est pas a moi ou pour moi ». Mais elles ne sont pas dupes et dans un échange méchant, et sans retenues, elles se moquent de moi par des remarques désobligeantes.

«- C’est triste de porter des couches à un certain âge.

  • Oui carrément, moi je ne pourrai pas, bonjour la honte.

  • Tu crois qu’il en porte déjà une sous son pantalon ?

  • Evidemment, c’est normal pour un pissou.

  • Allez viens, on le laisse acheter ses couches, sinon il va mouiller son pantalon. Ah ah ah ah….

  • Oui vaut mieux le laisser ce bébé. Ah ah ah. »

Je quitte le magasin sans achats, le cœur lourd par cette méchanceté gratuite. Dans les allées du centre commercial, je tente de me ressaisir et de reprendre du courage. En 15 minutes, je reprends la direction du magasin et cette fois, déterminé, je ne vais rien laisser me perturber.

Dans le rayon, je saisie le paquet de changes complets maxi absorption, dans mon élan, je prends des couches droites rectangulaire traversable autrement appelé inserts et sans tourner la tète, je file vers la caisse. Un paquet dans chaque main, je trouve une caisse libre, un vrai miracle et une parfaite aubaine pour moi. Je règle mes 2 achats alors que l’hôtesse de caisse a un regard compatissant. Je prends la direction du parking, déçu de ne pas avoir de sac assez grand pour y mettre mes 2 paquets.

A peine sortis du centre commercial que les 2 petites morveuses m’intercepte a nouveau, les 2 paquets à la main.

« - Alors finalement tu les as tes couches le pissou.

  • Oui et t’as vue, il a même 2 paquets, ca doit être un vrai bébé ah ah ah ah .

  • (Enervé et sous le coup de la colère) Puisque ca vous amuse tant, venez a la maison pour me les mettre. Vous avez beaux avoir des grandes gueules, montrez moi votre courage maintenant. Ce n’est pas tout de ce moqué des gens, il faut savoir assumer après.

  • Car tu crois que ca nous intéresse de voir un pisseu de ton âge en couches.

  • Ca montre tes limites. Grande gueule mais quand il faut passer aux actes, il n’y a plus personne.

  • Non, ce n’est pas ca, mais un pisseu de ton genre ne m’intéresse pas.

  • Je parie que tu as peur en faite. Ce n’est pas tout d’avoir de la gueule, faut aussi assumer.

  • Ah tu le prends comme ca, alors ok, je vais te les mettre tes couches, mais je te préviens, tu les auras toutes au cul, je vide les paquets sur toi.

  • Mais t’es folle, on ne le connaît pas ce type. Ca peut être un détraqué en plus, tu n’es sais rien.

  • Je ne pense pas, et puis lui mettre ses couches, ca va être drôle. Mais si tu ne viens pas, je n’y vais pas seule.

  • Ok je viens, mais je te préviens, je ne fais rien.

  • Bon le pisseu, tu habites ou ?

  • A 500 mètres, la voiture c’était pour rester discret, mais avec vous, c’est raté. Je vous emmène ?

  • Certainement pas. On y va à pieds et tu vas bien pouvoir exhiber tes couches. »

Tout au long du trajet, relativement désert, elles n’ont de cesse de me répéter que je suis un pisseu et que je vais avoir un gros cul avec les 2 paquets sur moi. Devant l’entrée de mon immeuble, elles marquent un temps d’arrêt.

« - Alors, vous n’entrez pas ? La peur ?

  • Non, je note l’adresse pour venir régulièrement te mettre d’autres couches à l’ avenir. »

Dans le hall, je remarque que je suis seul avec la plus grande des 2, celle qui a tenu le pari. Sa copine a finalement décidée de ne pas aller plus loin.

« - Elle est passé ou ta copine ?

  • Putain la salope, elle m’a planté. Tant pis, ca ne va pas m’empêcher de te mettre tes couches le pisseu. »

L’ascenseur arrive et au même moment, ma voisine du dessus, une magnifique fille sur qui j’avais des vues entre dans le hall. Je veux me faire tout petit car elle sait qu’elle me plait et avec mes 2 paquets de couches en main, ca va tout foutre en l’air. Une fois dans l’ascenseur, j’ai à peine le temps de prier que la pétasse se taise que…

« - Dis moi le pisseu, j’espère que tu portes une couche sur toi en ce moment.

  • Non, pourquoi voudrais tu que j’en porte ?

  • Attends, tu vas t’acheter 2 paquets et tu n’en porte pas sur toi ?

  • Mais c’est toi qui t’imagine que ces 2 paquets sont pour moi et que…

  • …Ils sont pour toi puisque je vais te les mettre.

  • (Et merde, elle m’a définitivement grillé avec Noémie, ma voisine)

  • (Se tournant vers ma voisine) Excuse-moi, tu habites l’immeuble ?

  • Oui juste au dessus.

  • Moi c’est Bénédicte. Tu savais que ton voisin porte des couches ?

  • Non, mais ca arrive.

  • Tu vois les 2 paquets qu’il tient, je vais tout lui mettre. Tu viens m’aider ?

  • (souriant aimablement) Non, je vous laisse vous amuser tranquillement. Ca n’est pas mon truc. »

Noémie fixe les 2 paquets et accroche mon regard avec un sourire mi complaisant et mi moqueur. La porte de l’ascenseur s’ouvre, Bénédicte sort rapidement et à peine mon premier pas fait

« - Amuse-toi bien avec cette folle,…. le pisseu. Hi hi hi» A peine le temps de me retourner pour voir le visage de Noémie toute souriante et amusée que les portes de l’ascenseur se referment.

Devant mon appartement, Je sonde une dernière fois cette folle. « Prête ? » « Dépêche-toi d’ouvrir que je te mette tes couches le pisseu. »

Une fois entrés, elle ne tarde pas à me dire de me mettre nu et d’aller dans ma chambre ou elle estime que c’est le meilleur endroit pour me mettre toutes les couches. Tout en me déshabillant, j’avance vers la chambre suivis par Bénédicte qui porte les 2 paquets. Dans la chambre, je retire mon caleçon.

« - Un pisseu qui ne porte pas de couches, une honte. Allonge-toi que je corrige cette erreur. »

Je l’entends déjà sortir les couches du paquet et préparer sa victoire sur moi. Forcé de me retourné et de lui faire face, j’arbore une forte et fière érection à m’en faire mal. Il faut bien avouer que Bénédicte est une très jolie femme bien qu’elle a un caractère de merde. Je m’allonge sur le dos et la regarde.

La demoiselle reste comme figée face à moi, 2 couches dépliées à la main. « Putain de merde, le pisseu a un monstre ». Même son ordre, n’est pas convaincant. Elle m’ordonne de lever mon bassin pour y placer les 2 premières couches, mais elle ne lâche pas du regard mon sexe. J’ose pas bouger, mais comme elle ne regarde pas ce qu’elle fait, sa bouche a quelques centimètres de mon sexe, je me redresse et place une main derrière sa nuque comme pour l’inviter sans la forcer. Sans surprises, elle lâche les couches et saisie mon sexe qu’elle ne tarde pas à prendre en bouche. Elle s’active rapidement pour me faire éjaculer sur mon ventre. Une point de déception m’envahie car je commençais a espérer coucher avec.

Peine perdue, elle se reprend et place les inserts et les couches une a une pour finir par toutes me les mettre. Un volume insupportable entre les jambes, elle me regarde et me dit juste.

« Pari tenu, bonne soirée le pisseu. »

Pas le temps de réagir qu’elle quitte la chambre puis mon appartement pour de bon.

Je reste seul comme un con avec un volume improbable, un véritable gâchis car je vais devoir retourner acheter d’autres couches dès demain et un ventre à nettoyer…mais je n’ai aucun regret.

Je me lève en sursaut pour finalement m’apercevoir que le jour se lève sur mon nouvel appartement et que j’ai taché mes draps par un rêve érotique dès plus réaliste. Vivement que j’achète mes premières couches…

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